23 avril 2025
Texte La Rédaction
Un plafond courbe est-il encore un pla(t)fond ? © Gieves Anderson
Pourquoi faire simple quand on peut faire courbe. © Dave Kulesza
Parce que les angles, c’est un peu trop carré, les courbes en architecture – qu’elles soient extérieures ou intérieures – sont bien plus qu’une simple alternative aux lignes droites. Elles apportent une fluidité, une douceur presque instinctive, qui rompt avec la rigidité des structures traditionnelles. En dessinant l’espace avec souplesse, elles instaurent une harmonie visuelle et une sensation de mouvement continu, comme une respiration dans la matière. La courbe n’impose rien : elle suggère, elle invite, elle enveloppe. De l’élégance intemporelle de l’arc aux formes organiques des bâtiments contemporains, elle transforme chaque structure en une œuvre vivante, presque sensible. Elle évoque la nature, les vagues, les dunes, les vallées – ces formes que l’on retrouve dans le monde qui nous entoure et qui nous apaisent inconsciemment. Intégrer la courbe dans l’architecture, c’est repenser notre rapport à l’espace, c’est insuffler de l’émotion dans la géométrie, c’est refuser la monotonie pour laisser place à l’imprévu et à la poésie. Dans les villes modernes, la courbe redonne une humanité aux constructions. Elle casse les codes, défie les perspectives et joue avec la lumière d’une façon unique. Elle ne suit pas une logique stricte, mais une intuition esthétique, presque organique. À travers elle, les bâtiments cessent d’être de simples volumes utilitaires pour devenir des expériences sensorielles à part entière.
“ La courbe invite à repenser la géométrie et l’esthétique des structures urbaines.”
“ C’est une tour pour regarder les montagnes. ” Auguste Perret
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